Le contrôle parental : un outil indispensable pendant le confinement… et pas seulement !
Pendant le confinement, ce n’est pas facile de combiner tâches domestiques, télétravail et enfants… et parfois, juste d’aider ces derniers à faire passer le temps. Or on ne le rappellera jamais assez : mettre un écran dans les mains d’un enfant, c’est tout sauf anodin.
La tentation des écrans, plus grande que jamais
Confinement, J25. Notre ressenti (surtout quand il fait beau) : J50. Ressenti pour les enfants : J100.
Le confinement est compliqué pour tout le monde, et notamment pour les enfants dont les repères sont chamboulés par de nouvelles « règles ». Nouveau fonctionnement de l’école, arrêt des activités extra-scolaires, sorties et sociabilité limitées, augmentation de la présence des parents (hors ceux qui exercent une fonction essentielle, que nous remercions) : une nouvelle vie.
Afin de pouvoir travailler, s’occuper de la maison ou juste de se re-po-ser, la tentation est grande pour les parents d’installer les enfants devant un écran. Ce sont d’ailleurs eux qui les réclament avec insistance, comme un jouet dont ils ne se lassent jamais. Alors que l’utilisation de la télévision explose dans tous les foyers, les ordinateurs, les tablettes et les smartphones tournent aussi à plein régime. Avec quelles conséquences ?
En théorie : 1 enfant + un écran = 1 adulte accompagnant
Le « Pas d’écran avant 3 ans ! » n’est parfois plus qu’un idéal lointain, l’utilisation des appareils connectés par les plus âgés se fait elle plus longue et souvent passive, sans interaction, et même parfois sans adulte accompagnant. Les parents sont partagés entre l’inquiétude d’une utilisation dérégulée et la volonté de pouvoir « couper » en laissant les enfants et les adolescents explorer et découvrir la magie d’Internet, de se faire leur propre expérience numérique.
Les deux ne sont pas sans conséquence : une exposition chronique aux écrans empêche le développement cognitif, le comportement et même la santé physique des enfants dès le plus jeune âge et jusqu’à l’adolescence. Le problème, c’est que les appareils connectés, et notamment les smartphones peuvent provoquer une addiction, et même ce qu’on appelle une nomophobie (contraction de « no mobile phone phobia »), c’est-à-dire la peur ou l’inquiétude ressentie à l’idée de se trouver sans téléphone mobile. Pour les éviter, il faut prévoir des plages horaires sans téléphone, ce qui permettra aux yeux de se reposer et de favoriser le sommeil.
En situation, c’est souvent bien plus compliqué : nous sommes des êtres humains et devons parfois lâcher du lest face à nos enfants… ce qui ne veut pas dire que tout peut être permis !
En pratique : le contrôle parental comme filet de sécurité
Les parents ont un rôle à jouer, à mi-chemin entre le contrôle et l’accompagnement pour que leur enfant profite des possibilités offertes par la technologie, sans pour autant impacter son évolution. Même si rien ne remplacera la présence d’un tuteur notamment dans l’éducation, l’utilisation d’un contrôle parental « électronique » parait plus que jamais indispensable. En effet, ce type de solution fera office de garde-fou quand votre enfant prendra trop de liberté avec l’appareil que vous lui avez confié. Vous pouvez donc plus tranquillement laisser votre enfant devant un ordinateur ou tablette, pendant que vous travaillez ou lorsque faites le ménage. Un peu de sérénité en ce moment (et pas seulement) peut aussi vous faire du bien, n’est-ce pas ?
Au-delà des limites que vous aurez discuté avec lui, vous aurez également l’occasion d’accompagner son utilisation. Par exemple, il vous sera possible de définir des créneaux d’utilisation (comme de 9h30 à 18h30), des limites de temps (2h par jour maximum, en cumulé sur l’ensemble de ses appareils) et bien entendu des catégories de contenus (un enfant de 5 ans n’a pas les mêmes usages du web qu’un adolescent). Car en dehors de la santé physique, préserver la santé mentale de nos enfants est crucial dans leur développement. Pour ce faire, il faut absolument leur éviter des contenus inappropriés, dont l’effet traumatisant n’est pas à sous-estimer. La très bonne campagne du CSA de 2008 (!) est plus que jamais d’actualité.
Vous l’aurez compris : la mise en place d’un contrôle parental est indispensable. Celui de F-Secure Safe et F-Secure Total est aussi nécessaire pour vos enfants que votre accompagnement quotidien. Un bon plan pour finir : retrouvez F-Secure SAFE, F-Secure Key et un cloud illimité (!) dans le Pack Sérénité FNAC, actuellement en promotion !
N’attendez-plus pour vous faciliter la vie et surtout protégez vos enfants sur Internet !
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